[BFM TV.] Interventions d’Alexandre Saubot
Le Président de France Industrie a été interviewé à deux reprises pour commenter l’actualité politique et budgétaire.
Le Président de France Industrie a été interviewé à deux reprises pour commenter l’actualité politique et budgétaire.
Le Collectif France Industrie en région Grand Est sera désormais animé par deux chefs de file : Arnaud Bernier et Sébastien Renault.
Le Président de France Industrie mentionne les effets insidieux de l’imposition record de l’industrie française. A court terme, « la désindustrialisation, ce n’est pas tant une usine qui ferme qu’une usine qui n’ouvre pas […]. A long terme « il faut comprendre que ces prélèvements, c’est de l’argent en moins qu’on a pour investir, pour être compétitif. Ça fait prendre du retard sur l’IA, les robots, l’innovation… ».
« Dire que les entreprises n’ont pas créé d’emplois, alors que 2 millions ont été créés en dix ans, c’est insensé ! » commente Alexandre Saubot, interrogé par la journaliste Marie-Pierre Gröndahl.
Alexandre Saubot rappelle que cet accord est bon pour l’industrie et que le contexte international de tensions commerciales « justifie l’élargissement des zones de libre-échange, de diversifier les débouchés et de sécuriser les approvisionnements ».
Alexandre Saubot souligne une fois encore le « haut niveau d’incertitude pour les industriels ».
« Les problèmes du pays ne seront pas résolus en augmentant les impôts » souligne le Président de France Industrie.
« L’accord commercial avec les États-Unis reste trop incertain et déséquilibré pour rassurer l’industrie française », alerte le Président de France Industrie. Il appelle l’Union européenne à « se saisir pleinement d’un agenda de compétitivité et de protection de son marché » pour faire face.
Alexandre Saubot, président de France Industrie, a dénoncé ce 30 juillet sur BFM Business, un accord commercial Europe –États-Unis « déséquilibré », symbole selon lui de la faiblesse de l’Europe dans la guerre commerciale et économique face aux États-Unis et à la Chine. Il appelle à une réaction ferme pour défendre les intérêts industriels européens, seul véritable levier de souveraineté dans un monde devenu ouvertement conflictuel.